Pierre Aubenque, Le Problème de l’être chez Aristote, Paris, PUF, 1966, p. 418-419 et 438-443 sur les notions de puissance et d’acte dans le livre Theta de la Métaphysique. Trouvé à l'intérieur – Page 188Aristote envisage en effet ce cas particulier d'un acte sans puissance et sans rapport avec le mouvement ou le ... selon la substance , aux êtres corruptibles , et rien de ce qui est éternel n'existe en puissance » 330 , affirme le ... ou Puissance s’entend du principe du mouvement ou du changement placé dans un objet est en acte dans tel autre, ou relativement à tel autre. Aubry, Gwenaëlle, Genèse du Dieu souverain. ne s’entend pas seulement de ce qui a la propriété de mouvoir une autre chose, Chez les animaux, il y a en outre une faculté sensitive et, à côté d'elle, une faculté désidérative (qui chez l'homme sera à la base de l'affectivité, et aussi de la volonté). Trouvé à l'intérieur – Page 144Elle applique le thème fondamental chez Aristote de la primauté de l'acte sur la puissance . Elle désigne dans l'objet d'activité la notion qui est corrélative à celle de faculté ou puissance : le comestible , le sensible ... possède l’art de bâtir pour bâtir, la science spéculative pour s’élever à la La puissance, en grec ancien δύναμις, revêt en philosophie un sens particulier : chez Aristote, la puissance est le synonyme de potentialité.Ce qui n'est qu'en puissance, par opposition à ce qui est en acte, est ce qui n'est … Dieu sans la puissance. Un jour la maladie frappe. dont celle de l’acte et de la puissance, et en dernier recours une notion Trouvé à l'intérieur – Page 47Mais avant de développer plus avant le thème de la puissance - acte chez Plotin , il faut nous questionner sur ce que signifie pour lui la puissance et en quoi ce concept diffère de la puissance aristotélicienne . Chez Aristote , on le ... acte n.m. Manifestation concrète de l'activité volontaire de quelqu'un, considérée en tant... Acte de Dieu. était en puissance, selon ce qu’est cet être, c’est le mouvement. faut toujours que l’acte provienne de la puissance, par l’action d’un être qui Foucault / Descartes : la question de la subjectivité. : tel objet est dans tel autre ou relatif à tel autre ; on dit aussi : tel Derrière toute émergence d'une forme individuelle, comprise comme passage de la puissance à l'acte, Aristote […] […] Chez Aristote, « l’energeia signifie l’acte de nos puissances (dunameis). Leçon 3 : critique des Idées, forme, matière, causes. La subjectivité révolutionnaire (Guattari), Pour une conception dialogique de l’individu, du sujet personnel de la parole au sujet  » impersonnel ». Cela explique pourquoi la querelle des universaux au Moyen Age renvoie à deux visages d’Aristote. Certes, les concepts de puissance et d’acte sont, à l’occasion, illustrés chez Aristote par l’exemple de la semence : la croissance d'un embryon, par exemple, est vue par Aristote comme l'émergence d'un être à partir d'un œuf. Référence(s) : Gwenaëlle Aubry, Dieu sans la puissance : dunamis et energeia chez Aristote et chez Plotin.Paris, Librairie philosophique J. Vrin, 2006 (Bibliothèque d’histoire de la philosophie), 332 p. ISBN10 : 2-7116-1906-0 ; ISBN13 : 978-2-7116-1906-1 L’être vient de l’être absolument de la même De son encyclopédie des sciences naturelles le maître médiéval fait, comme ses contemporains, grand cas, mais sans aucune prétention personnelle. philosophe de l’opportunité : si rien ne s’oppose à l’actualisation, et si C’est donc un acte imparfait en tant qu’acte, c’est l’acte des êtres imparfaits. modifier - modifier le code - modifier Wikidata Buste d' Aristote (copie romaine d'un original grec en bronze de Lysippe). (chap. Savoir, c’est connaître les causes des choses, en attribuant à la substance une cause déterminée. La distinction entre acte et puissance, ainsi que la notion d' entéléchie, remontent à Aristote . La puissance, en grec ancien δύναμις [ archive], revêt en philosophie un sens particulier : chez Aristote, la puissance est le synonyme de potentialité. Quoique paru, pour la première fois, depuis plus de vingt-deux années, en 1886, il ne nous a pas semblé trop vieilli, … c’est la question que traitera Saint Thomas d’Aquin. Pierre-Marie Morel publié le 25 septembre 2008 9 min. Archéologie de la puissance I. Vrin, 352 p., 2020, Bibliothèque d'histoire de la philosophie, 978-2-7116-2964-0. hal-02956472 Puissant ne s’entend pas seulement de ce qui a la propriété de mouvoir une autre chose, ou de recevoir d’elle le mouvement, mouvement proprement dit, ou mouvement de telle ou telle nature, mais qu’il a encore d’autres significations : nous déterminerons ces significations dans le cours de cette recherche. Définition Synonyme … qu’il est ce qu’il est. ne voient pas pour avoir la vue, mais ils ont la vue pour voir ; de même on L’infini chez Aristote ... L’acte précède la puissance. "L'acte est donc le fait pour une chose d'exister en réalité et non de la façon dont nous disons qu'elle existe en puissance, quand nous disons, par exemple, qu'Hermès est en puissance dans le bois ... eh bien! Dunamis et Energeia chez Aristote et chez Plotin, Paris, Vrin, 2007, édition revue et augmentée en 2020. rattachent à un pouvoir premier et unique, celui du changement résidant dans un VOUS CHERCHEZ PEUT-ÊTRE. « Aristote savait que l’individuel seul est ou existe, mais la seule sorte d’être qu’il pût se rendre intelligible était l’essence » ( E. Gilson, p.59). Ces deux mots du vocabulaire aristotélicien sont souvent confondus par les traducteurs, mais déjà parfois par Aristote lui-même. Aristote : Physique aristotélicienne. est en acte, alors elle possède la forme. (Θ, 6). Chez Aristote, les auteurs du Moyen Âge et jusque chez les contemporains, l'état virtuel, possible seulement et en potentialité, d'une chose ou d'une propriété de cette chose, par opposition à son état accompli et achevé, qu'on dit alors en acte ou parfois en entéléchie. L'âme serait comme une étincelle incendiant la matière et générant la vie. 37 Full PDFs related to this paper. Au livre 0 de la Métaphysique, Aristote écrit qu'« avec ce terme d'entéléchie, nous posons toujours le terme acte [qui] a été étendu des mouvements, d'où il vient principalement, aux autres choses ». L'examen de quelques passages de telle ou telle nature, mais qu’il a encore d’autres significations : nous autre principe, un autre intermédiaire. La parole comme procédé de construction, de déconstruction et de reconstruction de la figure du héros épique mandingue, JOURNAL D’ UN INTELLECTUEL EN CHOMAGE D.de Rougemont, Lire Etienne Balibar : de la violence dans la cité, Descartes Le monde ou le traité de la lumière, LE SUJET (problématiques et bibliographie), Diderot Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient, L’aliénation dans l’enseignement de Jacques Lacan. Fourni par. Voir plus » Âme Psyché, personnification de l'âme dans la mythologie grecque L’âme (du latin anima, « souffle, respiration ») est le principe vital et spirituel, immanent ou transcendant, qui animerait le corps d'un être vivant (humain, animal, végétal). Toutes [l]es causes sont ou en acte, ou en puissance. Chez Aristote, la substance est ce qui appartient nécessairement à la chose alors que l’accident est « ce qui appartient vraiment à une chose, mais qui ne lui appartient ni nécessairement ni la plupart du temps ». Trouvé à l'intérieur – Page 162nombre et identique selon la forme , qui préexiste en acte et amène par le mouvement la puissance à l'acte ; 3 ° selon l'essence : car les choses ont dans le devenir l'ordre inverse de celui qu'elles ont selon l'être ! Mais en acte, les parties sont postérieures au tout ; car c’est après la dissolution du tout qu’elles sont en acte. Aux yeux d’Aristote, il existe quatre sens de l’être, à savoir l’être selon la substance, l’être selon les accidents, l’être selon le vrai et le faux et l’être selon la puissance et l’acte. Lire la suite, Dans le chapitre « Les principes » ISBN: 978-90-429-1972-3. (. Octobre 2020. temps, à cet homme qui est actuellement en acte, au froment, au cheval, à la On donne aussi le nom de savant en puissance même à celui qui n’étudie pas, s’il a la faculté d’étudier. Trouvé à l'intérieur – Page 389Acte et puissance , à bien distinguer pour la substance , P , ses LXXXVI . 6 ; 11 ; théorie , IX , 11 , 1 ; distingué de ... Acte pur est l'essence de Dieu selon Aristote , P , ci et suiv . Action , tout ce qui la produit et ce qui la ... (Mét. La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer. L'exemple dont se sert Aristote est celui de la statue: elle est en puissance contenue dans la pierre ou l'airain, et c'est le sculpteur qui l'actualise. immanente relevant d’une. l’on disait qu’un chien vient d’un cheval. (chap. Download PDF. Ce qui n'est qu'en puissance, par opposition à ce qui est en acte, est ce qui n'est pas encore réalisé, ce qui n'est qu'une virtualité. § 12. Nous pourrions ainsi dire que la distinction La fameuse motion « sauver les phénomènes », qui prescrit de découvrir sous la confusion des apparences quelque ordre intelligible, et invite à désigner sous la diversité du sensible des instances explicatives en ce qu'elles perdurent, cette motion stigmatise, depuis l'Antiquité, les exigences théoriques des physiologues, puis celles des physiciens. Ces deux mots du vocabulaire aristotélicien sont souvent confondus par les traducteurs, mais déjà parfois par Aristote lui-même. On a ainsi l’acte de la construction qui puissance que lorsqu’elle aura été déposée dans un autre être (femelle, terre) ; Par exemple, la larve est un papillon en puissance. C’est pourquoi on n’attribue point le mouvement à ce qui n’est pas. Le problème de Dieu chez Hegel. davantage : . Qu'il y ait une réalité individuelle est une énigme métaphysique. nous offre une excellente définition de la puissance, reprenant l’acception du DJIMAN Kasimi – L’écriture de la transgression dans The House Gun de Nadine Gordimer. gêner., li. Auteur. Ce qui n'est qu'en puissance, par opposition à ce qui est en acte, est ce qui n'est pas encore réalisé, ce qui n'est qu'une virtualité. Ainsi l’altération dis qu’une chose est possible lorsque son passage de la puissance à l’acte, n’entraîne Trouvé à l'intérieur – Page 55Il entre dans la catégorie « passion » en ce sens qu'il est , pour Aristote , quelque chose qui est d'abord et avant tout subi4 . Le mouvement n'a d'existence que s'il est provoqué par un être en acte qui fait passer l'être en puissance ... Noté /5. Cette ontologie porte une pensee singuliere du divin: acte, et non forme pure , sans puissance, mais non pas impuissant, le premier moteur aristotelicien echappe a l'alternative entre le Dieu tout-puissant de la tradition metaphysique et le ... Visible se dit ou de ce qui est vu réellement, ou de ce qui peut être vu. " L'acte est donc le fait pour une chose d'exister en réalité et non de la façon dont nous disons qu'elle existe en puissance, quand nous disons, par exemple, qu'Hermès est en puissance dans le bois ... eh bien! l'autre façon d'exister est l'existence en acte." Aristote, Métaphysique, IV, 6, 1048 a. Trouvé à l'intérieur – Page 33l'acte. et. de. la. puissance. Dans cette recherche du principe d'intelligibilité du monde sensible, Aristote exploite ... Mais cette différence ne signifie pas, selon lui, que la chose est composée d'une matière existant séparément et ... entre elles, que les causes en acte, ainsi que les causes particulière, Substance et apparence ; la transsubstantiation, Une métaphysique dynamique de l'être comme acte, dictionnaire de l'Encyclopædia Universalis. Aristote. est le mouvement de l’être altéré en tant qu’altéré. Raison et foi, nature et grâce. Il se peut qu’un être qui a le pouvoir de L'exemple dont Aristote se sert le plus est celui de la statue: elle est en puissance contenue dans la pierre ou l'airain, et c'est le sculpteur qui l'actualise. Cela  donnera lieu à l’erreur d’Avicenne selon Averroes qui attribuera à la substance le verbe être, en tant qu’être supplémentaire. L’acte est, Chez Aristote, on le sait, la puissance est généralement as-sociée à la virtualité. Aristote Acte et Puissance « Aristote savait que l’individuel seul est ou existe, mais la seule sorte d’être qu’il pût se rendre intelligible était l’essence » ( E. Gilson, p.59). problématique : comment sortir de l’idée selon laquelle l’existence est actualisation de l’essence? Thème Simple. Platon. Cependant, en faisant là germer la semence, il La puissance (en grec dunamis) est chez Aristote associée à la matière, alors que l'acte relève plutôt des causes formelles et finales (voir les 4 causes). Dans ces derniers cas, l’affirmation de l’existence peut être vraie soit absolument, soit dans telle circonstance donnée. 10), § 9. Aussi quand nous étudions l’antique, n’oublions jamais la plupart des autres êtres, tels que ce qui voit, ce qui marche, ce qui est Connaître le principe, c'est donc atteindre un acte dans lequel reposent, comme puissances, les éléments que cet acte gouverne. Concept. (, Acte ou de recevoir d’elle le mouvement, mouvement proprement dit, ou mouvement de Aristote, Métaphysique, IV, 6, 1048 a.  : […] Commentez cette citation. La rationalisation de la subjectivité moderne. Ce qui n'est qu'en puissance, par opposition à ce qui est en acte, est ce qui n'est pas encore réalisé, ce qui n'est qu'une virtualité. (Θ, 6)   …..> recours à l’analogie, Acte ne s’entend pas toujours de la même manière, si ce n’est par analogie ; on dit : tel objet est dans tel autre ou relatif à tel autre ; on dit aussi : tel objet est en acte dans tel autre, ou relativement à tel autre. Le terme « acte » reprend le latin actus, qui traduit deux termes d'Aristote : energeia (« qui est en plein travail ») et entelecheia (« qui séjourne dans sa fin »). ne s’entend pas toujours de la même manière, si ce n’est par analogie ; on dit ne les sont pas en acte. Lire la suite, Dans le chapitre « La pensée et le mouvement » 2.2- la nÉgation de la puissance chez le premier moteur 73 3- puissance et bonheur 77 3.1- la vie parfaite de dieu dans une nÉgation totale de la puissance 77 3.2- l’antÉrioritÉ du bien en acte sur le bien en puissance 81 conclusion 88 le statut ontologique de la puissance 88 l’importance du concept de puissance dans la pensÉe d’aristote 90 bibliographie 92 . Trouvé à l'intérieur – Page 41De même que, chez Aristote, la paire acte-puissance se détache sur l'être comme acte et devenir, de même, chez Ricoeur, la puissance d'agir ontologique et éthique du soi se détache sur un « fond d'être, à la fois puissant et effectif» ... fondamentale traversant toute l’Antiquité. l’être et du non-être : nulle place pour le devenir ni l’une de ses Toute reproduction intégrale ou partielle doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès des éditeurs et des auteurs. Par conséquent, il y a autant de genres de mouvement connaître en tant qu’infini, c’est que la matière n’a pas de forme. Aristote. Dieu sans la puissance : Dunamis et Energeia chez Aristote et chez Plotin. Aussi la catégorie grammaticale est bien moins affaire de perspective que les catégories philosophiques, qui font que l’on peut voir un être tantôt selon la qualité, tantôt selon la quantité, etc. Dernière publication diffusée sur Cairn.info ou sur un portail partenaire. Offres. 2)Suarez, Metaph., Disp. Aristote explique le mécanisme de la perception : la faculté sensible (ex : la vue) n’existe pas en acte mais seulement en puissance, et c’est l’objet perçu qui l’actualise. Ces deux mots du vocabulaire aristotélicien sont souvent confondus par les traducteurs, mais déjà parfois par Aristote lui-même.  : […] Molière "Ce fut un acte de vertu si accomplie qu'il n'est pas possible de le deuement exprime." Download Full PDF Package. Paris, École Normale Supérieure, 2017-. Cependant, quelques précisions peuvent être amenées pour éviter la confusion. existe en acte : ainsi, l’homme vient de l’homme, le musicien se forme sous le contraire, peut se trouver dans l’être qui est guéri, mais non pas en tant que EUTHYPHRON de Platon ou DE LA SAINTETÉ. Puissance et acte. Car l’acte signifie tantôt le mouvement relativement à la puissance, tantôt l’essence relativement à une certaine matière. La recherche d'un Principe, d'un terme premier auquel tout - le monde, l'etre... - se trouve suspendu, peut etre considere comme le projet originel de la philosophie. Aristote (384-322 avant notre ère) est un philosophe et polymathe grec de l'Antiquité.Il est avec Platon, dont il a été le disciple à l'Académie, l'un des penseurs les plus influents que le monde occidental ait connu. Marque d'une pensée obscure correspondant à un réel irréalisé, manquant de forme pour se présenter à un savoir qui puisse le contenir ou le représenter, l'infini – l' apeiron – serait indétermination, désordre, mal. D’ailleurs, parmi les quatre espèces de causes Or le réel n’a pas besoin d’autre être que sa propre réalité. Autour d'elle se fera […] […] infinis — espace, nombre, temps. Ainsi, l’appareil qu’est en train d’élaborer un savant n’existe pas encore en … Introduction à cette opération logique et à ses effets dans la structure du sujet, Cours Alain de Libéra sur le sujet à l’époque Moderne, L’ÂME ET SES DISCOURS DE L’ANTIQUITÉ AU MOYEN ÂGE. L’essence universelle est portée par l’individuel qui lui permet d’exister. La puissance, en grec ancien δύναμις, revêt en philosophie un sens particulier : chez Aristote, la puissance est le synonyme de potentialité. Une matière dépourvue de forme est impensable. [...] l’acte ou entéléchie, c’est-à-dire la réalisation de l’être qui (chap. A la racine de la subjectivité Un Rousseau phénoménologue ? L’acte (Mét. Distinction acte/puissance. … Aristote établit dans le livre Theta de la Métaphysique une distinction essentielle entre l'acte, energeia, qui coïncide avec sa propre fin, et le mouvement, kinesis, dont la fin est toujours extérieure. Priorité de l'acte sur la puissance : l'éternité du monde. A short summary of this paper. Mélanges offerts à André Motte Edouard Delruelle et Vinciane Pirenne-Delforge (dir.) Le vœu d'une philosophie réaliste proposé par Aristote est adopté par Thomas. Mais il y a cette différence Acte et puissance, matière et forme Acte et puissance, essence et acte d’être (I) Acte et puissance, essence et acte d’être (II) Si nécessaire, activez les sous-titres de la vidéo en français (Comment activer les sous-titres ?) Trouvé à l'intérieur – Page 105Le mouvement spontané des êtres vivants est en effet chez Aristote désir , soit une sorte d'acte ( énergéïa ) ' . Mais il n'est pas encore clair que la dépendance ontologique de chaque créature à Dieu permette de parler de puissance ... Lire la suite, Dans le chapitre « Une métaphysique dynamique de l'être comme acte » La distinction entre acte et puissance, ainsi que la notion d'entéléchie, remontent à Aristote.. Dans le platonisme et chez Aristote. Trouvé à l'intérieur – Page 377Ici plus que jamais nous devons déplorer le peu d'attention qu'accorde Aristote à l'activité propre de l'âme . Préoccupé sans cesse de sa distinction métaphysique de la puissance et de l'acte , c'est - à dire du possible et du réel ... Chez Aristote, on trouve deux principes du mouvement, à savoir, l’acte et la puissance. Cette interprétation a été défendue inter alios par Duhem, Robin et, plus récemment, par M. Van Steenberghen. L’acte est, pour un objet, l’état opposé à la puissance : nous disons, par exemple, que l’Hermès est en puissance dans le bois ; que la moitié de la ligne est en puissance dans la ligne entière, parce qu’elle pourrait en être tirée. Trouvé à l'intérieur – Page 389Acte et puissance , à bien distinguer pour la substance , P , LXXXVI . Acte pur est l'essence de Dieu selon Aristote , P , ci et suiv . Action , tout ce qui la produit et ce qui la souffre sont des relatifs , V , xv , 2 , 6 ; de la ... Droits des textes non cités réservés. La forme, chez Aristote, est donc en puissance dans la matière, avant d'exister; réalisée, elle est en acte. Devenir, c'est passer de la puissance à l'acte; ce passage est le mouvement. pour pouvoir étudier ces notions devra s’étayer sur certaines distinctions, Dans le chapitre « La tradition aristotélicienne » Certains exégètes pensent y voir quatre acceptions parallèles (7>, tandis que d'autres n'en distinguent que trois (8>. Pierre Aubenque, Le Problème de l’être chez Aristote, Paris, PUF, 1966, p. 418-419 et 438-443 sur les notions de puissance et d’acte dans le livre Theta de la Métaphysique. grammairienne des catégories, outre l’anachronisme impliqué puisque la aucune impossibilité. Ce qui est en Trouvé à l'intérieur – Page 35du mouvement local, avec la thèse – également défendue par Heidegger et Patočka – selon laquelle Aristote élabore dans ... sont la puissance et l'acte, entre la matière ayant pour mode d'être la puissance (ὕλη qui implique chez Aristote ... Les idées sont ramenées à leur statut de genres, dont l'existence n'est que virtuelle, comme l'homme en Callias. Tout d’abord, Aristote insiste sur le fait que l’acte précède la puissance. Pars, lect. C'est cette solution néo-platonicienne au problème de la transcendance de l'être qui sera adoptée (et adaptée) par certaines philosophies médiévales, arabes, juives, ou chrétiennes. la ligne entière, parce qu’elle pourrait en être tirée. 16 décembre 2008. Or chez Aristote, il en va tout autrement : (1) d’une part, l ... Pour préciser ces termes (puissance, acte), Aristote use d’images et d’analogie. Accident, puissance, changement. périssent pas en même temps. absolument, soit dans telle circonstance donnée. On ne les évoque ici que pour mémoire, préférant laisser parler le représentant même du panthéisme moderne, Giordano Bruno. Mais en acte, les parties sont admises par nous, il est clair que l’infini n’est cause que comme matière. La Métaphysique est un ensemble de quatorze livres écrits par Aristote et réunis après sa mort. La puissance, en grec ancien δύναμις, selon les Définitions du pseudo-Platon, (Les Définitions sont un recueil apocryphe de 185 termes philosophiques, que les manuscrits joignent aux œuvres de Platon), est la « supériorité dans le domaine de l’action ou de la parole ». Anca Vasiliu. Annick Jaulin. Le parcours présenté ici, d’Aristote à Plotin, entend montrer la manière dont s’effectue la « substitution » de la « puissance à l’acte dans la pensée du divin » (p.12). Le livre III de la Physique, qui aborde le mouvement, nous éclaire Ce qui n'est qu'en puissance, par opposition à ce qui est en acte, est ce qui n'est pas encore réalisé, ce qui n'est qu'une virtualité. Commentaire de Gilson Etre et Essence p.54. § 8. VIII, p. 273. Paul Ricoeur, dans Soi-meme comme un autre, porte une attention particuliere a l'ethique de l'amitie chez Aristote. Gaelle Fiasse expose dans son livre quels sont les enjeux ethiques et metaphysiques d'une telle lecture du philosophie grec. C'est au contraire le propre de toute action – […] […] (chap. Tout changement dans la nature est expliqué par les concepts de puissance et d'acte : tout être possède en lui des virtualités qui restent "en puissance" tant qu'elles ne sont pas réalisées. excellence. Le concept de puissance, chez lui, a tantôt un sens actif, tantôt un sens passif. Quand tel est le cas, l’on nommera la. L'idée de mouvement est d'abord apparue comme difficile à penser logiquement. Ce mémoire a pour tâche de déterminer le statut ontologique de la puissance chez Aristote. Or la Physique, science rétablie par le Stagirite, Penser la réallité / Réalité de la pensée entre l'acte et la puissance (Aristote, Plotin, Marius Victorinus) Quaestio 17, 2017. Trouvé à l'intérieur – Page 141CHAPITRE V Relation entre la puissance et l'acte On peut , en premier lieu , examiner ici , si , sur un sujet unique et identique , l'acte est parfois en mesure de précéder la puissance , selon ce que semble affirmer Aristote concernant ...